Deux faits divers récents jettent un éclairage intéressant sur le quotient intellectuel de certains délinquants américains. Jugez-en plutôt ! Dans la banlieue de New York, un jeune homme armé d'un fusil de chasse fait irruption dans une péicerie de quartier. Après s'être fait remettre la recette de la journée, il aperçoit une bouteille de Whisky, trônant derrière la caisse.
"Passe-moi le scotch, demande-t-il à l'employé.
- Impossible, fait l'autre, la vente d'alcool est interdite au moins de 21 ans. Montrez-moi vos papiers d'identité."
Pris de court, le braqueur s'exécute spontanément. le caissier note mentalement son nom et son adresse, lui donne la bouteille, et appelle la police dès la fin du hold-up. Le jeune homme est arrêté deux heures plus tard.
A San Francisco, un autre malfrat de piètre envergure envisage de dévaliser une succursale de la Bank of America. Il entre dans l'établissement et écrit maladroitement sur un formulaire : "Ceci est un hold-up ! Donnez-moi tout l'argent !" Puis, il attend sagement son tour pour s'approcher du guichet. Comme le temps passe et qu'il s'impatiente, le braqueur décide de traverser la rue pour tenter plutôt sa chance à la Wells Fargo Bank. Quand il présente sa note à l'employée, cette dernière lui répond avec un étonnant sang-froid : "Je ne peux pas accéder à votre demande, car elle a été écrite sur le formulaire d'une banque concurrente. retournez à la Banque of America ou utilisez nos bordereaux."
L'homme hésite quelques secondes et s'éloigne, perplexe. le temps pour la guichetière d'alerter la police !