"Pouvez-vous réchauffer ceci dans votre four à micro-ondes ? demanda Claudia Sherman en donnant à la caissière d'une épicerie de Pittsburgh, aux Etats-Unis, un objet enveloppé dans des serviettes en papier. C'est une question de vie ou de mort !"
Cette dernière s'exécute, mais, méfiante, ouvre le paquet à l'abri des regards. Quand elle decouvre qe l'emballage contient un pénis tranché, elle téléphone sans hésiter à la police. Arguant que la porte du four s'est bloquée, l'employée parvient à retenir la jeune femme dans le magasin, le temps de permettre aux forces de l'ordre de se rendre sur les lieux. Les policiers arrêtèrent Claudia et l'emmenèrent au poste. Après inspction, l'organe mutilé est un gadget de sex-shop. Explication : Claudia s'était portée candidate à un emploi, mais le recruteur avait exigé d'elle un test d'urine pour déceler une éventuelle toxicomanie. De peur que l'analyse soit positive, Claudia avait demandé à son petit ami de lui procurer de son urine qu'il avait recueillie sans un pénis artificiel. "Pour qu'on ne puisse pas déceler la supercherie, il fallait que l'urine soit à la température du corps, a plaidé l'usurpatrice. C'est pourquoi j'ai voulu faire réchauffer le faux pénis avant de subir le test !"