En 1814, une belle veuve, propriétaire d'un château dans le Bordelais, allait changer le cours de l'existence d'un aristocrate anglais, homme fortuné et aide de camp du prince régent, futur Georges IV.
Ce gentleman séducteur et brillant, officier arrive en France à l'issue de la guerre d'Espagne.
Au cours du voyage de trois jours en diligence qui le mène à Paris, il se laisse séduire par la belle veuve, Marie de Gasq, qui lui confie être contrainte de vendre son château pour survivre...
La légende rapporte que le général Palmer ne résiste pas aux "arguments" de la belle, qualifiés pudiquement de convaincants...
Ne dispose-t-il pas d'une forte somme octroyée pour ses services par le parlement angalis ?...
C'est ainsi qu'à l'arrivée à Paris, il se trouve propriétaire d'un domaine viticole dans le Bordelais, auquel il donnera son nom et son style, et qu'il agrandira.
Palmer réside principalement en Angleterre, il laisse la gérance du domaine à des Bordelais.
Mais lors d'un dîner organisé par le prince régent, les convives n'apprécient guère le bordeaux aux saveurs délicates que Palmer leur fait goûter.
Sur les conseils du régent, Plamer n'hésite pas alors à abandonner ce cru et à arracher la vigne.
Il entreprendra de nouvelles plantations à grands frais, multipliera les expériences et finira ruiné, forcé de vendre sa propriété aux frères Péreire qui développeront un cru hors du commun.