Une question récurrente turlupine les savants depuis la nuit des temps : en dehors, bien sûr, de l'organe niché dans l'entrejambe, en quoi hommes et femmes se distinguent-ils réellement ? Ces dernières années de nouveaux éléments de réponse ont été apportés. Ainsi quand les phallocrates se gobergent du faible volume des cerveaux féminins - de 5 à 10 % plus légers que ceux des hommes -, les neurologues signalent qu'elles possèdent en revanche 15 % de matière grise supplémentaire. Les aires du langage sont réparties, chez les femmes, dans l'ensemble de l'encéphale, tandis qu'elles sont concentrées dans l'hémisphère gauche - celui de la logique - chez leurs compagnons : c'est ainsi qu'à l'âge de neuf ans, les filles possèdent dix-huit mois d'avance verbale sur les garçons, mais que beaucoup plus d'entre eux sont surdoués en maths. En 2004, un universitaire israélien a conçu un logiciel capable de déterminer le sexe d'un individu à partir de ce qu'il écrit. sa méthode a mis en évidence que les femmes sont enclinesà utiliser les pronoms personnels (je, tu...), alors que les hommes sont plus amateurs de chiffres et d'adverbes de quantité.
Rappelons enfin que l'homme et le singe possèdent 98 % de patrimoine génétique en commun, alors qu'il existe 5 % de différence génétique entre l'homme et la femme. Conclusion : physiologiquement un homme est plus proche d'un singe mâle que d'une femme !
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