Bonnes blagues

Un gars fait irruption chez un de ses copains et lui dit : "Dis donc, est-ce que tu aimes les femmes avec de seins qui tombent sur le ventre ?
- Euh, non, dit l'autre.
- Et les femmes qui ont des cuisses comme des gros jambons flasques ?
- Non.
- Et les femmes qui ont des fironcles partout ?
- Non.
- Et les femmes qui puent du bec ?
- Non.
- Alors pourquoi tu t'envoies ma femme ?"

Un monsieur, un matin, écoute la radio avec son épouse, une ravissante blonde.
"Nous prévoyons dix centimètres de neige, aujourd'hui. Veuillez mettre vos voitures du côté pair dans les rues pour le déneigement."
La femme se dépêche, s'habille, va placer l'auto du côté pair.
Le lendemain, ils écoutent toujours :
"Quinze centimètres de neige, aujourd'hui... Mettez vos voitures du côté impair pour assurer le déneigement..."
La femme s'habille, se dépêche et va placer la voiture du côté impair.
Le lendemain :
"Trente centimètres de neige, aujourd'hui ! Il faut mettre votre voiture... bzz..., bzz..." La radio est brouillée, panne de secteur dans l'appartement.
"Qu'est-ce que je vais faire ? demande la femme. Je n'ai pas pu finir d'écouter... Il n'a pas dit de quel côté il fallait mettre la voiture...
- Ecoute, ce matin, si tu veux, laisse-là dans le garage !"

C'est in scientifique qui convoque une blonde, une brune et une rousse à un concours pour qu'elles proposent leur projet spatial.
La brune propose une étude de la vie lunaire ; la rousse propose un voyage humain sur Mars pour connaître les possibilités de vie sur la planète, et a blonde propose une étude du Soleil. Tous ça est très sérieux.
Le scientifique déide de sélectionner le projet de la blonde. Vous voyez déjà l'intention... Il la convoque et lui demande :
"Quel est l'objectif de votre projet ?
- Aller sur le Soleil, éidemment !
Le scientifique, avec u sourire en coin, lui dit :
- Mais vous serez brûlée... avant d'arriver !
Et, avec une logique totale, la blonde lui répond :
- Vous me prenez pour une pomme ou quoi ! Je vais y aller la nuit !"

C'est une pauvre femme, son mari est mort, et elle n'a pas beaucoup d'argent. Les croque-morts sont un peu attendris.
"J'aurais tant aimé qu'il est un smoking pour son dernier séjour dans son cercueil ! se lamente la veuve. C'est demain que ça se passe."
Le lendemain, elle arrive, et son mari est en smoking.
"Comment avez-vous fait ? demande-t-elle.
- Vous savez, répond un des deux croque-morts, il y a un graçon qui sortait d'une boîte de nuit. il rentrait dans sa Rolls Royce ; il s'est fait faucher et il était en smoking...
- Quel travail vous avez eu pour le déshabiller !
- Non, non. J'ai changé les têtes !"

n jour, un de nos camarades et très grand ami, Jean-Pierre Foucault, enregistre des "Qui veut gagner des millions ?" toute la journée. Il enquille sept émissions, et il est un peu crevé quand il rentre le soir. Au contraire, ce soir-là, sa femme est en super forme.
"Mon petit Jean-Pierre, tu viens, on va se coucher !
- Oui, chérie, bien sûr, on y va."
Il n'y met pas un coeur absolument énorme. Enfin, ils sont au lit et madame se montre un peu entreprenante... Jean-Pierre lui dit :
"Ecoute, chérie, vraiment, là, j'en ai plein les bottes, j'ai bossé toute la journée, j'ai fait gagner je ne sais combien de millions, je n'en peux plus.
- Ah bon ! C'est ton dernier mot, Jean-Pierre ?
- Oh ! oui, écoute ! Très drôle !
- Eh bien ! Puisque c'est ça, je vais appeler un ami !"

C'est sur une plage. Un couple de Belges se promène. Une mouette passe et làche un peu de guano sur le revers du pull du amri qui dit à sa femme : "Oh ! alors, tout de même ! Donne-moi un peu de papier hygiénique, s'il te plaît !
- C'est trop tard, elle est trop loin !"

C'est Pavarotti qui rencontre Ruggiero Raimondi.
Ils ne s'aiment pas beaucoup... Pavarotti dit :
"Comment tu vas, Ruggiero ?
- Moi ça va, j'ai fait un concert sur la place Saint-Marc, à Venise, formidable, 5 000 personnes qui m'applaudissaient debout, 27 rappels, et à la fin de ce spectacle, la Vierge qui est sur le frontispice de la cathédrale, la Vierge s'est mise à pleurer, c'était magnifique, et toi ?
- Moi j'étais à Copacabana sur la plage, et 500 000 personnes m'ont applaudi debout, 32 rappels, magnifique, et le Christ de Corcovado, c'est incroyable, il est descendu à la fin, il est monté sur scène, il m'a pris dans ses bras, il m'a dit : "C'est magnifique, 500 000 personnes, 32 rappels, c'est pas comme ce con qui a fait pleurer ma mère à Venise, la semaine dernière !"

C'est un type qui a une petite entreprise de trois cents personnes, et une nouvelle loi l'oblige à employer au moins un handicapé.
Il passe une annonce : "cherche handicapé"... Et un beau mec blond se présente un matin :
"Bonjour, monsieur. Je viens pour l'annonce.
- Mais, vous êtes handicapé ?
- Bien sûr : j'ai eu un accident de moto et je n'ai plus de roubignolles.
- Et c'est un handicap ?
- Je pense bien. L'alinéa 40, loi du 12 juillet : "Ablation des deux testicules, handicap..."
- Très bien. Vous commencerez demain ! Venez vers dix heures !
- Non monsieur, je vous remercie. je ne veux pas de passe-droit. Je vois marqué derrière vous "Tout le personnel doit être là à neuf heures...
- Mais non, venez vers dux heures.
- Ecoutez, monsieur, pourquoi ?
- Oh ! Vous savez, ici, entre neuf heures et dix heures, tout le monde se gratte les couilles !"

Un Belge féru de conquête spatiale va passer huit jours à Cap Canaveral. Il veut ramener un souvenir, et la seule chose qu'on lui propose, c'est un bidon d'huile de la navette. Il rapporte ça chez lui et le met sur sa cheminée. Un soir, pour le dîner, sa femme lui a fait moules-frites. Il lui dit :
"Tes frites ont un drôle de goût !
- Oui, je n'avais plus d'huile d'arachide alors j'ai pris l'huile que tu as rapportée de la navette !
- Tu te rends compte, c'est très dangereux ! D'ailleurs je le sens, ça gargouille ! On va faire venir le médecin !"
Le médecin vient, l'ausculte et dit :
"Ecoutez, il n'y a pas grand-chose ; vous risquez simplement d'avoir quelques flatulences, mais ce n'est rien."
A quatre heures du matin le téléphone du toubib sonne :
"Monsieur le docteur, on vous appelle parce qu'on a eu... des vents, quoi !
- Je vous ai dis que ce n'est rien ! Il ne faut pas me déranger à quatre heures du matin ! Tout le monde a des vents la nuit...
- Oui, mais c'est qu'on a eu nos vents à Liège, et là je vous appelle de Barcelone !"

C'est l'histoire du Suisse qui rentre chez lui, le soir, et qui dit à sa femme :
"Alors, tu as passé une bonne journée ?
- Oui, j'ai passé une bonne journée, mais j'ai eu de la visite.
- Ah bon, tu as eu de la visite ?
- Oui, il y a M. Dumas qui est venu me voir.
- Ah bon ! Qu'est-ce qu'il voulait ?
- Je n'en sais rien, il est arrivé, il m'a dit bonjour.
- Et puis, qu'est-ce qu'il t'a dit ?
- Il ne m'a rien dit, il m'a déshabillée !
- Il t'a déshabillée ?
- Oui, oui, il m'a déshabillée, il m'a mise toute nue !
- Ah bon ! Et il ne t'a rien dit ?
- Il ne m'a rien dit !
- Et qu'est-ce qu'il t'a fait ?
- Il m'a mise sur le lit !
- Ah bon ! Et il ne t'a rien dit ?
- Non, non !
- Mais qu'est-ce qu'il t'a fait ?
-- Eh ben, il m'a sauté dessus, et puis alors il m'a fait l'amour !
- Et il ne t'a rien dit ?
- Non !
- Et après, qu'est-ce qu'il a fait ?
- Il est reparti !
- C'est curieux, on ne saura jamais pourquoi il est venu !"

C'est un cheval qui sort de Longchamp, après une course, et il rencontre, sur les Champs-Elysées, une jument. Elle lui plaît, et il l'invite à manger chez Maxim's. Après, le cheval dit à la jument : "Qu'est-ce que tu voudrais faire ce soir ?
- Je voudrais aller voir Love Story."
Ils vont au cinéma tous les deux, ils s'accoudent au balcon, et à la fin du film, la jument est tellement émue qu'elle applaudit, elle pleurre, et tout à coup le balcon s'effondre ; plouf ! Et elle tombe sur les gens des fauteuils d'orchestre. Le cheval se penche pour voir sa dulcinée à terre et dit : "Ah ! Mon Dieu ! Qu'est-ce qu'il se passe ?"
Et plouf ! le cheval tombe par terre. Alors, les gens des fauteuils d'orchestre se mettent à crier : "Ce n'est pas bientôt fini de jeter des chevaux, non !"

J'ai connu une dame qui avait une fille de 18 ans qui partait tous les samedis soirs dans une discothèque. Un jour, elle a voulu se rendre compte comment sa fille allait danser : "Comment ! Tu vas dans une discothèque et tu n'as pas de soutien-gorge ?
- Non.
- Et tu n'as pas de culotte ?
- Non, je n'ai pas de culotte.
- Et tu vas comme ça dans une discothèque ?
- Et toi, quand tu vas au concert, tu portes des boules Quies ?"

Je vous ai raconté l'histoire du mec qui a un coup de téléphone de sa banque à la maison ? Il entend : "Votre compte est à découvert de dix-sept mille francs.
- De dix-sept mille francs !
- Oui !
- Monsieur de la banque, pouvez-vous, s'il vous plaît, regarder à combien mon compte était le mois dernier ?"
Le type tape sur son clavier :
"Vous étiez créditeur de vingt-trois mille francs.
- Et le mois d'avant ?
- Le mois d'avant : trente-sept mille francs.
- Et le mois d'avant du mois d'avant ?
- Vous étiez créditeur de quarante-deux mille francs.
- Et est-ce que je vous ai téléphoné, moi ?"

Ca se passe chez le coiffeur. C'est un homme qui vient se faire couper les cheveux, et dès que le coiffeur a terminé, il montre du doigt en unfant et lui dit :
"Vous pouvez couper les cheveux du petit, là, je vais faire les courses et je reviens le chercher."
Le coiffeur coupe les cheveux de l'enfant, et une fois que la coupe est terminée, le petit va se rasseoir et prend une bande dessinée. Au bout d'une heure, l'enfant est toujours là. Le coiffeur s'inquiète et lui dit :
"Dis donc, mon petit, ton père, il revient te chercher à quelle heure ?
- Ce n'est pas mon père, c'est un bonhomme qui s'est adressé à moi dans la rue, et il m'a dit : "Viens avec moi, on va se faire couper les cheveux à l'oeil !"

C'est un jeune marseillais qui va voir son collègue et qui lui dit :
"Tu sais, je me fais beaucoup de soucis parce que je vais en Angleterre et je ne parle pas un mot d'anglais !"
Son copain lui dit :
- Ecoute, ce n'est pas compliqué, l'anglais c'est comme le français, mais il faut que tu par-les len-te-ment.
- Ah ! bon !
- Oui, tu parles lentement, c'est ça l'anglais.
Il part pour l'Angleterre. Il entre dans un pub et dit :
"Bon-jour, mon-sieur le ser-veur."
Le serveur répond :
"Bon-jour, mon-sieur.
- Oh putain, je parle anglais, il m'a compris ! Je vou-drais, s'il vous plaît, un whis-ky.
- Avec de l'eau ou des glaçons ?
- Putain ! il avait raison, je parle anglais ! Ex-cu-sez-moi, monsieur, j'entends à votre pointe d'ac-cent que vous êtes peut-être de Marseille ?
- Oui, je suis aussi de Marseille, alors on pourrait peut-être arrêter de parler anglais !"

Deux vieux qui vont chez le notaire.
Ils sont là :
"Bonjour, monsieur...
- Asseyez-vous, asseyez-vous..."
Le notaire voit qu'ils sont âgés.
"Quel âge avez-vous ?
- Quatre-vingt-sept ans et quatre-vingt-deux ans !
- Qu'est-ce que vous voulez, monsieur-dame, qu'est-ce que je peux faire pour vous ? Vous savez que je suis notaire.
- Nous voudrions divorcer !
- Ah bon ! Depuis combien de temps êtes-vous mariés ?
- Soixante-quatre ans !
- Pourquoi avoir attendu si longtemps pour vouloir divorcer ?
- Nous attendions que les enfants soient morts !"

En Belgique, un gars roule à deux cents à l'heure sur une autoroute alors que c'est limté à cent vingt. Un gendarme l'arrête.
"Vos papiers, s'il vous plaît.
- Non ! Je ne montre pas mes papiers, moi !
- Voulez-vous souffler dans le ballon ?
- Non ! Ton ballon est sale. Je vais attraper des maladies !
- Voulez-vous ouvrir le coffre arrière ?
- Non ! C'est mon coffre à moi ! En plus il y a un cadavre dedans."
Le brigadier-chef arrive :
"Monsieur, voulez-vous présenter les papiers du véhicule ?
- Avec grand plaisir, brigadier, voilà, ça c'est la carte grise, ça c'est le permis de conduire, la vignette...
- Voulez-vous souffler dans le ballon ?
- Quel joli ballon ! Je souffle avec plaisir !
- Voulez-vous ouvrir votre coffre arrière ?"
Il l'ouvre : vide.
Le brigadier dit :
"Pardon, je ne comprends pas... Le gendarme qui est là-bas me dit que, non seulement vus avez refusé très durement de montrer vos papiers, que grossièrement vous n'avez pas voulu souffler dans le ballon, et que vous aviez dit qu'il y avait un cadavre dans votre coffre !
- Lui ? Si vous l'écoutez, dans cinq minutes il va vous dire que je roulais à dex cents à l'heure !"

C'est un Noir qui se promène dans la jungle et qui voit tout ^coup un scorpion, alor il lève le pied pour l'écraser, mais son pied reste ne l'air. Il dit au scorpion : "Allez, va-t'en, pauvre petite créature du bon Dieu, allez, va-t-en, va-t'en, je te laisse la vie !"
Et à ce moment-là, comme il fallait s'y attendre, le scorpion se change en fée. Elle dit à l'homme :
Qu'est-ce que tu veux, tu as trois voeux à faire, dis-les-mois !
Et le Noir dit : "On, ben ça, ce n'est pas difficile, je sais très bien ce que je veux ! D'abord, je veux être blanc, ensuite je veux vivre dans le luxe, et troisièmement, je veux du cul, du cul, du cul, du cul partout !
- Très bien."
La fée le touche de sa baguette magique, et il se retrouve bidet au Ritz.

Dansn double concerto de Brahms pour violon, violoncelle et orchestre, le violoniste était très attiré par la violoncelliste qui était la femme du chef d'orchestre. Et donc, évidemment, une fois qu'ils avaient joué leur concerto, l'orchestre, lui, continuait à jouer. C'était sur un bateau. Le violoniste se retrouvait seul dans les coulisses avec la violoncelliste. Evidemment, ils sont montés sur le pont où il y avait les chaloupes de sauvetage et ils se sont mis tranquillement dans une chaloupe, et boum tagada !
Là ou ça devient très fort, c'est qu'ils ignoraient que dans la deuxième partie, il y avait une pièce qui se jouait sans chef ! Donc, à un moment donné, le chef a cherché sa femme, la violoncelliste, qu'il ne voyait pas. Il a commencé à chercher partout. Il est monté sur le pont et il a vu une chaloupe bouger dangereusement. Il a donc ouvert et frappé sur l'épaule du monsieur violoniste en disant : "Ca ne vous dérange pas si je dis un mot à ma femme ?"

C'est un Belge qui voyage beaucoup. Son copain lui dit :
"Tu as de la chance ! Où tu étais ?
- J'étais en Suisse.
- C'est beau ?
- Oui. mais il faut grimper. Il y a les neiges éternelles, tout ça...
- Et comment elles sont, les Helvètes ?
- Je ne sais pas."
Il rentre cheez lui, ouvre un dictionnaire : "Helvète : habitante de la Suisse". Alors il dit : "Zut, il m'a eu !"
Six mois après, il retrouve son pote :
"Alors, toujours en voyage ? Où tu étais ?
- En Grèce.
- Comment c'est ?
- Ce n'est pas beau ! C'est tout cassé : le Parthénon... Ils disent que c'est beau, mais c'est vieux !
- Et comment sont les Héllènes ?
- Je ne sais pas."
Il regarde le dictionnaire : "Hellène : habitante de la Grèce." Il pense : "Oh là là, je me suis fait avoir !"
Après un nouveau voyage, il croise encore son ami, qui lui demande :
"D'où tu reviens, toi, cette fois-ci ?
- Je reviens d'Egypte.
- C'est beau ?
- C'est magnifique. J'ai reonté le Nil. Quelle beauté !
- Et les pyramides, comment elles sont ?
- Toutes des salopes !"

Ca se passe dans une famille allemande, très rigoriste. La femme est enceinte, l'accouchement se passe bien, le bébé sort du ventre et ne pousse pas un cri. C'est incroyable, d'autant que le bébé est souriant. Tout va bien. Deux mois, trois mois, cinq mois, et le bébé n'émet pas un son ! Il ne parle pas, il est toujours souriant. Alors, la mère va consulter les plus grands spécialistes, et ils sont tous d'accord :
"Non, on l'a examiné, les cordes vocales sont là, tout va bien, il finira bien par parler un jour, ne vous inquiétez pas !"
Les années passent : quatre ans, cinq ans, six ans, et le petit garçon ne dit toujours rien ! Sept ans, huit ans. Le soir de son quatorzième anniversaire, il y a un grand repas, toute la famille est là. Tout à coup, le garçon fait : "Je voudrais avoir le sel, s'il vous plaît !"
Alors là, émerveillement dans la famille. Sa mère lui dit :
"Mais mon chéri, ce n'est pas vrai, mais alors tu parles ! Pourquoi tu n'as pas parlé avant ?
- Parce que, jusqu'ici, tout était parfait !"

C'est un général qui visite un hôpital espagnol. Il visite les malades et demande à l'un d'eux :
"Qu'est-ce que vous avez, mon ami ?
- Hémorroïdes, mon général !
- Ah ! Très bien ! Comment vous soigne-t-on ?
- Algodon, mon général !
(Algodon, c'est du coton).
- Ah, très bien ! Et quel est votre souhait le plus profond ?
- C'est de guérir vite pour servir la patrie !"
Le général demande au deuxième :
"Qu'est-ce que vous avez ?
- Hémorroides, mon général !
- Comment vous soigne-t-on ?
- Algodon, mon général, badigeon !
- Quel est votre souhait...
- C'est de guérir vite..."
Le troisième, le quatrième, le cinquième...
"Quel est votre souhait ?
- Guérir vite..."
Et puis il y en a un nouveau :
"Qu'est-ce que vous avez, mon ami ?
- Mal à la gorge, mon général !
- Et comment vous soigne-t-on ?
- Algodon, badigeon !
- Quel est votre souhait le plus profond ?
- Qu'on change l'algodon, mon général !"

Deux types dans un avion. Ils atterrissent dans la jungle en catastrophe, et l'un se fait piquer à l'endroit sensible par une espèce de serpent venimeux : "Vite ! Il faut aller chercher un docteur !"
L'autre reprend l'avion et part vers la ville la plus proche. Il voit un docteur et lui dit :
"Mon copain s'est fait piquer à cet endroit-là. Qu'est-ce qu'il faut faire ?
- Il faut sucer le venin, sinon il va mourir."
Le gars remonte dans l'avion et retrouve son copain qui lui demande :
- Qu'a dit le docteur ?
- Il a dit... que tu allais mourir.

C'est deux Français et un Belge qui s'échappent de prison. Ils ont tout organisé : ils ont fait des cordes avec des draps, ils descendent dans la première cour, ils remontent, ils redescendent et ils arrivent au dernier mur où la voiture les attend. Il y a une échelle contre le mur. Un petit caillou tombe avec le premier Français et le gardien de nuit dit :
"Qui va là ?
- Miaou !"
Le gardien croit que c'est un chat. Ca passe. Le Français pend son échelle et monte dans la bagnole.
Le deuxième Français fait tomber un caillou un peu plus gros :
"Qui va là ?
- Miaou !"
Le gardien croit que c'est encore le chat. Et le Français descend.
Le Belge arrive, fait tomber un gros pavé, vlan... Trois gardiens arrivent :
"Qui va là ?
Et le Belge : "C'est encore le chat !"

Vous connaissez l'histoire du loup, quand il est arrivé chez la grand-mère ? Il a cogné, et elle lui a dit : "Tire la chevillette." Il a tiré la chevillette et il est entré.
La grand-mère, ça faisait bien quarante ans qu'elle n'avait pas vu un mec ! Elle voit le loup, le regarde, et le loup lui dit : "Ben, je vais te sauter grand-mère !" Il l'attrape, mais il ne peut pas y arriver. Rien à faire ! C'est une horreur ! La grand-mère dit : "Essaye encore !"
Il essaye une deuxième fois et n'y arrive pas :
"Je regrette ! Les loups, ce n'est pas fait pour les grands-mères.
- Si, si ! Par pitié ! Vas-y un petit coup !"
Il essaye une troisième fois et il n'y arrive pas. Il se dit : "Putain ! A quelle heure elle arrive avec le beurre ?"