Adolphe Sax ne supporte pas que les fanfares militaires, en sonnant faux, lui écorchent les oreilles.
Alors, il invente de nouveaux instruments de musique qu’il fait fabriquer des les ateliers de son père, à Bruxelles, en Belgique.
Après des cors et des tubas, il sort en 1840 un instrument fait de deux centre trente pièces différentes qu’il baptise saxophone, c’est-à-dire « la voix de Sax ».
Installé à Paris, Adolphe organise des concerts au Champ-de-Mars pour séduire l’armée : un général décide d’en équiper un régiment de clairons de chasseurs à pied !
Et puis Berlioz, un grand compositeur français de l’époque, vante « la beauté variée de son accent » et l’introduit dans son orchestre.
Le succès est immense.
Le saxophone sera ensuite adopté par les plus grands jazzmen.
Inlassable inventeur, Sax rêvera ensuite de combiner un orgue et une locomotive à vapeur pour créer une ambiance sonore lors de l’inauguration des voies ferrées !